Je ne veux pas rester muette devant cette intrusion de la violence la plus effroyable dans nos vies, mais je ne veux pas non plus joindre ma voix à toutes les autres, si inutiles, qui ne font que transformer la douleur indicible de plusieurs centaines d’hommes et de femmes en bavardage pour presse peu scrupuleuse (et mon dieu comme elle l’est peu). Je ne trouve malheureusement qu’à répéter ce que j’ai écrit pour Charlie : « Dans ma poitrine, dans mon ventre, une masse sombre et glauque,...

by pcharneau on 16 novembre 2015