
J’ai eu des relations très variables avec la photo. Enfant, j’avais reçu un petit « Kodak Instamatic » qui me permettait surtout de jouer à la grande. J’ai du alors photographier plus de ruines romaines en quelques mois qu’ensuite tout le reste de ma vie. Je me rêvais en adulte « cultivé » qui rapportait des photos fascinantes de ses voyages au long cours, même si pour moi le voyage n’était que d’une heure et que je n’avais personne à qui montrer les thermes...