
Trouvé cette vignette ce matin à l’allumage de mon téléphone. Ça tombait bien, je chialais. Et j’en ai entendu d’autres, ensuite, à la radio, chialer. Des grands, des forts. C’était la première fois que j’entendais, que je recevais tant d’émotion, de peine, à travers un media. Depuis hier dans ma poitrine, dans mon ventre, une masse sombre et glauque, mouvante, oppressante, me parle du courage que je n’ai pas, de peine infinie, de traumatisme individuel – perdre...